Ces images témoignent de mon séjour au Ladakh en juillet 1982. Exceptionnellement la mousson n’avait pas libéré les cimes himalayennes des nuages et le fleuve Indus était en inondation par endroits.
Pour quitter le Ladakh et se rendre au Cachemire, il faut emprunter une route (qui ressemble plutôt à une piste) qui serpente pour atteindre deux cols à plus de 4500 m. Un seul sens de circulation à des horaires précis impose d’attendre que l’armée, prioritaire, ait atteint les cols en question.